Par rapport aux autres grands noms de vin français, je suis particulièrement amateur du beaujolais et le bordelais. Ce sont des grandes figures du vin français dont la réputation continue de s’étendre à travers le monde.
A chaque période de vendange, j’achète du vin nouveau et puis le revends après l’avoir laissé mûrir. C’est pour moi une source de revenu non négligeable.
Le vin primeur, de plus en plus accessible
En tant qu’amateur de vins nouveaux, j’ai remarqué que le prix est nettement accessible depuis le viticulteur. Le beaujolais reste un choix privilégié pour déguster un vin primeur. Suivi de près par le Bordelais, qui est plutôt connu pour son vin de garde.
Pourtant, il constitue un réservoir important de grands crus. A part le beaujolais et le Bordelais, il est devenu possible d’acheter du vin primeur dans d’autres régions.
La vente en primeur commence à gagner du terrain. Ce genre de négociation se pratique aussi chez les producteurs bourguignons. A noter que cette pratique profite beaucoup aux viticulteurs comme étant une source immédiate de revenu à la fin de la récolte.